Cultiver le mystère...

...Un jour on te dit : mais on sait c'est pas grand chose de toi tu es qui  vraiment ?

Je suis moi pourquoi :)

Oui mais on ne te connais pas vraiment tu ne dis jamais rien de toi de tes expériences on sait rien de toi.

et alors...(au fond de moi les mots se bousculent tous dans le même sens et j'ai envie de répondre que je n'ai pas envie de révéler qui je suis). Que tu parles ou que tu te taises tu laisses le mystère planer alors que faire, que dire ou ne pas dire ?.

J'ai pas envie de révéler qui je suis à ceux que j'aime et ceux qui m'entourent, je n'ai pas envie d'être juger, pas envie qu'on parle de moi , qu'on parle sur moi.

C'est comme ça !

S'il vous plaît stoppé les questions, je ne suis pas prete a vous révéler qui je suis, et peut être même, que vous n'êtes pas pret à l'entendre.

Je ne savais pas vraiment qui je suis, ceux que je souhaite et tout le tintouin. J'ai envie d'une chose et puis d'une autre à l'opposé de la première. Rien de clair, rien de bien définie alors comment vous répondre...

et puis c'est vrai qu'il y a aussi ce mythe comme quoi je cultive le mystère. Et celui-ci est arrosé tout les jours par vos questions incéssantes alors il est normalement que vous soyez aggassés.

Ce n'est pas aujourd'hui le jour des révélations, il faudra attendre.

A toute ces questions que l'on me pose j'essai d'y répondre pour moi, seulement, n'essayer pas de savoir je ne dirai rien de vive voix...

....mais au fils des pages des relectures et au fils des mots peut etre bien que la vérité ce fera connaitre...

alors le jours venu je mettrai au courant tout ceux qui méritent de l'être c'est promis !

Jour sans

La demoiselle a les larmes aux yeux....

elle est déprimé, enfin elle ne sais pas bien si c'est le mot qui convient mais c'est comme ca qu'elle se voit. Elle est très lucide, mais elle pleure, elle brule, elle hurle de douleur interieurement et pourtant refuse l'aide qui pourrait lui être apportée. Elle n'en veut pas, c'est comme ça, elle ne l'explique pas. A premiere vue tout va bien, l'enveloppe extérieure est intact et ne laisse rien apparaître d'anormal. Personne ne doit s'appercevoir de quelque chose. Mais l'intérieur perd parfois le nord, empris de crise de boulimie ou d'anorexie, d'une excessive passivité ou bien d'une sportivité démesuré. Il s'agit de passades comme il y en a souvent. De plus en plus souvent. Et puis cette lucidité incroyable et si perturbante. Le fait de savoir et tout de même foncer dans la guele du loup (tant qu'il n'y a pas de conséquence). Elle le sait, elle sera comme ça tout sa vie. C'est de famille pense-t-elle. Et si c'était vrai.....

Elle continue comme ça, avec des hauts, des bas. Une fin à l'image de sa mère. Ca conviendrait à beaucoup. Elle voit très bien comment sera ça vie si elle choisie cette solution.

ou elle dit que ça va mal, finie en psychiatrie, assistée toute ça vie et vue son mentale elle sait qu'elle n'en sortira pas de sa façon de penser de voir les choses. Même s'il y a des moments de lucidité il y a toujours les heures de torture mentale. Les démences de virginia woolf dans le film "The hours" lui sont familières.

Puis comme si ça ne suffisait pas elle est boulimique à ses heures perdues et y en a..

Elle le sait, "il va falloir se reprendre en main". Une phrase qu'elle se dit régulière pour sortir la tête de l'eau et prendre le devant sur cette folie passagère.

Quand elle parle a son père, trop souvent elle lui répond mal et elle s'en veut tellement. C'est pas pour l'ennuyer qu'elle le fait, elle ne sait pas trop pourquoi d'ailleurs mais c'est comme ça et elle n'aime pas ça. elle s'en veut de lui répondre avec une intonnation qui si souvent met son père dans un mauvais état.

Elle ne se confie pas, à personne sans exception ! personne, personne, personne! Si, il y a le blog ! Elle sait que de toute façon son mal être est pire lorsqu'elle parle. Pour le moment la route est fermée. La lumière est éteinte. Elle marche dans le noir sous un soleil de plomb.

est-ce ce jour là ?

Au levé la petite fille decide d'aller prendre son petit déjeuner comme tout les matins  avant de partir à l'école sauf que ce jour là il n'y avait pas école. Les vacances étaient arrivées et ils étaient tous présent autour de la table sauf le père, déjà au travail. Le petit dej' avalé la petite fille se dirige pour faire un brin de toilette. Elle s'aperçoit de quelque chose, ça  l'effray, elle décide de le taire par peur des moqueries. Elle s'empresse de nétoyer et ni vue ni connue cette mésaventure disparait. Les  mois passent. Puis arrive ce jour, elle est toujours en vacances, ce doit-être les grandes vacances, tout le monde est réuni et le père toujours au travail. Les souvenirs sont présent comme au premier jour, ce jour ou tout va changer dans la tête de cette petite fille, aujourd'hui devenue mademoiselle. Le déroulement de la journée fut comme celui des jours précedent à la différence du temps de toilette. Le quart d'heure fut genant, embarrassant, incomprehensible, révélant.... La mésaventure était de retour. La tâche avait fait son retour et cette fois difficile de la faire disparaitre. Intriguée la petite fille appel la seul presence feminine de la famille, sa mère. Celle-ci se dirige vers la salle de bain et exprime toute sa joie à la vue de cette "affreuse" nouvelle. Puis elle ajoutera : "te voila grande maintenant tu auras ca tout les mois c'est normale c'est comme ca chez les jeunes filles". Elle rajouta le phrase de trop  : "ceci est notre secret à toute les deux". Puis il y a eu la formalité de famille qui veut que l'on offre un petit quelque chose à sa fille ce jour si "important".La mère avait agit comme bon lui semblait agir, c'était son choix de ne pas parler de ce moment mensuel chez la femme avant que sa fille ne manifeste un mot à ce sujet. Mais le plus dur pour la jeune fille restait à venir. Le moment du déjeuner se présente, la famille se réunit autour de la table et même le père est présent. Il glissera au creux de l'oreille de sa fille qui se situe à sa gauce à chacun des repas : "bravo te voila une grande fille". Mais de quoi veut il parler, il ne pouvait pas savoir, c'était un SECRET entre mère et fille. Pourtant il savait, ils le savaient tous. Ce fut terminé, elle se tue à jamais...Ce jour là elle compris bien des choses. Elle compris surtout que la confiance ça ce mérite et que personne autour d'elle n'était capable de la gagné. Et aujourd'hui c'est à un clavier qu'elle se confie...

long travail...

c dur de ce découvrir...

c dur de savouer les choses...

c dur de dévoiler...

Un jour on se retrouve face à quelqu'un, cette personne est là elle nous écoute et pourtant on ne trouve rien a lui dire, aucun mot ne sort, une volonté inconsciente de ne pas dire les choses ? le sentiment de ne pas savoir par ou commencer... Une heure s'écoule puis à ce silence l'inconnu trouve à répondre. De cette réponse il me reste le souvenir encore bien présent de 2 titres. Il s'agit de films (l'un de Gus Van Sant, l'autre de Lars Von Trier). A leurs  évocation une envie profonde de les découvrirs. Au fil du temps l'inconnu me tire des mots de la bouche et pourtant je ne lui ai rien dit de profond. Juste quelques inquiétudes mais le plus important reste enfoui et ne sortira pas. On a fini par interrompre les rencontres, le travail est fini, et pourtant tout reste à faire.

  MERCI à toi belle inconnue. Ca ne parait pas etre grand chose ce qui c passé lors de c rencontres et pourtant....

Merci a Elle.

choix perso

Durant ce WeekEnd prolongé nous avons eu de la visite. Une foule a envahie la maison et parmis la foule un enfant touchant. Des moments de complicité avec ce petit bonhomme, puis au moment de partir il demande à me faire un calin. Que du bonheur ! et c'est bien ça que j'ai envie de vivre. Mais vous ne m'enlèverez pas de tête que je ne veux pas d'enfant. C'est un choix personnel !  Essayer de comprendre !  Pourquoi lorsqu'on ne veut pas d'enfant cela parait si hors du coup, si anormal ? Je pourrais étaler le pourquoi de ce choix si arreté....plustard..... Veuillez juste accepter mon choix du moment..... Et puis on dit bien qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis ;-)

Tu resteras

Un jour tu es partie

Ce jour je n'ai pas compris pourquoi les larmes ne me venait pas et je m'en suis voulu

Puis j'ai grandi

Et depuis elles ont coulés et n'en finissent pas a chaque fois que je pense a toi

Tu me manques

Les choses auraient probablement été differente avec toi

Tu me manques

Souvent les larmes m'envahissent quand je pense à toi

Tu me manque

je te demande pardon

De n'être pas venu plus souvent te rendre visite

De ne pas t'avoir demander tes bras

De ne pas t'avoir fait des calins plus souvent

De ne pas avoir eu envie de venir quand j'aurais du

De ne pas t'avoir apprécié comme j'aurais du

D'avoir eu peur

Aujourd'hui je sais ce que j'ai perdu

Tu me manque tellement

Cela fait plusieurs années que tu nous as quittée

Et pourtant j'espère toujours...

...t'appercevoir au volant d'une voiture

...te croiser au coin d'une rue

Même si je sais que cela est impossible

je t'aime

Tu me manque

Tata de mon coeur adoré que j'aime tres fort

je pense à toi

à nous

encore à toi

Fille d'avril_Paroles

C'est une fille d'Avril
Pauvre de moi
Une fille difficile
Elle ne veut pas
Découvrir d'un fil
Tout ce qu'elle a
Ni son cœur, ni son corps
C'est comme ça

Les filles de Janvier, on le dit
N'aiment pas garder leurs habits
Au coin du feu
Elles se prélassent
Février Mars
Voici le joli mois de

Mai
Les

Anodin : sans danger, sans gravité